La santé et la vitalité d’un organisme dépendent de la qualité des aliments qu’il ingurgite.
Or, sur les 365 kgs consommés annuellement, 50% sont constitués d’aliments morts qui encrassent l’organisme au lieu de le nourrir : graisses brûlées transformées en poisons, aliments trop cuits, préparations industrielles, boissons alcoolisées… Insidieusement, ce surplus affaiblit et fragilise l’organisme. L’énergie vitale diminue et les maux s’installent.
Au cours de son évolution, l’homme s’est adapté à son environnement : en voyant un membre de sa tribu malade après l’ingestion de certaines baies, il savait qu’il valait mieux ne pas y toucher. La vue, le goût, l’odorat et l’expérience prévalaient dans un monde où l’homme évoluait en explorateur et pas encore en conquérant.
Aujourd’hui, débranché de la nature, l’homme aborde tout ce que la société de consommation fabrique. Il a perdu ce discernement instinctif qui tirait la sonnette d’alarme en cas de besoin. ATTENTION ! Soja transgénique, salade irradiée, boeuf aux hormones, volaille de batterie, poissons contaminés aux métaux lourds (voir extrait vidéo ci-dessous), vache folle, lait à la dioxine … Il s’adapte !
Et, c’est alors que les problèmes apparaissent : fatigue, déprime, surpoids, allergies, constipation, asthme, maladies dégénératives …
Le mieux est de procéder par étapes, en considérant l’alimentation non plus par son côté calorique mais par son côté bienfaiteur et, surtout en devenant épicurien.
